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mardi 26 juin 2018

OISEAUX DU PARC DES ULIS - 4 : GALLINULES, FOULQUES, GREBES...

          * POULE D'EAU  A TETE ROUGE OU GALLINULE:


Pour les puristes, c'est la poule d'eau proprement dite, plus petite que la foulque et plus vive, tout aussi prompte à s'éclipser sur l'étang dès qu'un humain approche. Son cri est également assez strident malgré sa petite taille. Les gallinules se mêlent aux foulques, mais sont moins nombreuses.



Couvée de gallinules.


* POULE D'EAU A TETE BLANCHE OU FOULQUE:


Ces poules d'eau forment le gros de la troupe sur l'étang des Ulis. Froussardes, leur oeil rouge ne vous quitte pas, et si vous approchez, elles détalent de leur démarche gauche, embarrassées par leurs grosses pattes. En même temps elles sont volontiers hargneuses entre elles, et avec les autres oiseaux, et poussent des cris assez disgracieux.
Elles ponctuent de points noirs la blancheur de la neige ou le vert des prairies, selon la saison...
La foulque est d'une taille supérieure à celle de la gallinule.
Les foulques, mâle et femelle, sont d'excellents parents. Dès leur naissance et jusque très tard, ils ne cessent de plonger pour trouver de quoi nourrir leurs petits.

Foulque nourrissant son petit.


                                              * GREBE CASTAGNEUX:


Je n'ai découvert leur présence au parc que le 15 juin 2017, quand une  petite famille composée de deux adultes et cinq petits est apparue sur l'étang! C'est qu'ils sont prompts à disparaître sous l'eau , où ils peuvent rester assez longtemps, dès qu'ils perçoivent une présence humaine. Ils sont moins fréquents (ou moins faciles à voir) que leurs cousins, les grèbes huppés.

Leur appellation (castagneux) est une référence à la châtaigne, en raison de leur petite taille et de la couleur de certaines parties de leur plumage.

                                2018 : nouvelles images.
En 2018, deux couples au moins ont créé un nid. L'un des deux a subi des déboires: son nid a été anéanti par une foulque macroule déchaînée! Eh bien le couple a refait un nid, et la mère a repondu! La Nature est bien faite, elle prévoit même les incidents de parcours:

                                                                     1er couple:


                       Couple de grèbes castagneux sur le nid. Le mâle peaufine le nid. Mai 2018

  Détresse des grèbes face à une foulque occupée à anéantir leur nid. Mai 2018

                                                                            2e couple:


Grèbe castagneux femelle et ses deux petits (l'un d'eux est en train de grimper sur son dos)

La mère porte ses petits sur son dos.

                                                  La pêche a été bonne pour le grèbe. 26/6/18.

2019:

12/4/19.

dimanche 6 mars 2016

A la découverte des oiseaux du parc des Ulis.3- HERONS ET CORMORANS.

                                                                HERONS.
Le parc des Ulis a eu son ou ses hérons, selon les époques et les moments de l'année. Longtemps on n'en vit qu'un seul, toujours posté au même endroit, sur la rive est de l'île présente dans l'étang, à bonne distance des humains. En 2015, ils étaient plutôt deux, l'un posté sur la rive ouest de l'île, l'autre sur la rive est. Et puis, il y a les individus de passage, que l'on reconnaît au fait qu'ils s'installent un peu n'importe où. J'ai vu jusqu'à trois hérons en même temps dans le parc en automne 2015. Mais le héron est solitaire, il ne se perche presque jamais en compagnie d'un congénère. C'est au point qu'on se demande comment ils font pour se rencontrer, et se reproduire! Une seule fois, j'ai aperçu deux hérons qui s'envolaient de concert. Il arrive aussi qu'ils soient totalement absents du parc pendant une longue période: ce fut le cas au moment de l'arrivée du froid en janvier et février 2016.

"Extraordinaire capacité de transformation du héron, ardéidé maîtrisant royalement l'air d'une grâce stupéfiante, pauvre pêcheur attendant ses proies, bandit des petites mares.
Source de sérénité, de modestie, de pérennité, de discrète beauté, la biodiversité à préserver, choix de tout instant." Monique Villain , poète.

                                       IMAGES DE HERONS (Parc des Ulis 2009-2017).



Héron en vol - septembre 2009.


                                      Héron au sommet d'un arbre.
                                                                                
                                                                          Héron perché. Avril 2010.


Héron et son ombre... Décembre 2010 .


Héron glacé... (Décembre 2010).


Ici la silhouette effilée du héron s'inscrit à ravir dans un tableau champêtre...(Mai 2015).

                                   
                                      Héron de passage au perchoir inhabituel (Août 2015).
                                            

Un autre oiseau de passage (1er novembre 2015).


Envol d'automne (1er novembre 2015).

                                                               
                                                                22 novembre 2015.


                          Ce jour d'automne, ce héron de passage s'est laissé approcher de près…


Héron guettant une proie au petit étang. 28/5/18.

L'envol du héron: la grâce d'une ballerine…28/5/18.

Héron faisant sécher ses ailes. 25/8/19.


                                                  HERONS DANS LE VOISINAGE.

                                                         ORSAY, LAC DU MAIL:


Un héron peu farouche, sans doute habitué à la présence humaine, un jour de grand froid (2013).

PARC DE LA MAIRIE - VIRY-CHATILLON:


J'ai pu saisir ce héron dans une attitude différente...(Mai 2014). 

FONTENAY LES BRIIS:


J'ai été  amusé, au cours d'une balade, par la vue de ce héron perché sur une botte de paille...Septembre 2014.


PARC DU CHATEAU DE MORSANG SUR ORGE (juillet 2015) :


                      C'est la seule fois où j'ai pu assister à un manége amoureux entre deux hérons.


Héron en vol.

ETANGS DE SACLAY.


Héron en vol au soleil couchant. Août 2011.


                                                         CORMORANS.
La présence de cormorans dans le parc des Ulis est plus sporadique. Ils ont pu arriver en groupe, se perchant au sommet d'arbres élevés, pour fondre de temps en temps sur des proies repérées dans l'étang. Ils ont pu alors séjourner plusieurs jours de suite. Parfois, c'est un individu isolé qui fait un "tour de piste" sur l'étang... En janvier et février 2016,  ils ont disparu durablement avec les premiers froids.
                                    IMAGES DE CORMORANS (Parc des Ulis 2009-2015).
                                                         
                                                                          2009:


Perchés au sommet d'arbres élevés...Septembre 2009.
Pour la première fois, ce 9 septembre 2009, des cormorans ont élu domicile, sans doute
provisoirement, dans le parc des Ulis. Ils se perchent le plus souvent dans les grands arbres bordant l'étang principal.


On reconnaît leur comportement caractéristique:ouvrir leurs ailes pour se les sécher.


Toujours là... 24 novembre 2009.
Au retour d'une absence imprévue de presque trois semaines, je retrouve mon cher parc des Ulis, et je constate que les cormorans -apparus sur les lieux pour la 1e fois à l'approche de l'automne- sont toujours là, et bien plus nombreux cette fois (j'en ai vu une demi-douzaine).
Peut-être vont-ils passer l'hiver ici?

                                                 
26 novembre 2009 : aujourd'hui le soleil blafard de novembre a du mal à percer les nuages.
Je retrouve mes cormorans sur leur arbre préféré.
Et o surprise, ils sont bien plus de six, j'en ai compté au moins 11, répartis sur deux arbres différents.
Notre parc leur plaît apparemment, ils ont trouvé de quoi assurer leur subsistance...
J'attends de voir s'ils passeront l'hiver ici ou non.

26 décembre: certains au nombre de 3 sont toujours là: ils hibernent donc aux Ulis.

2015:
En 2015, après avoir exploré le Hurepoix, je reviens davantage à mes premières amours: le parc des Ulis. Et je me remets à observer de près la gent ailée, par exemple les cormorans.


Mai 2015: deux cormorans sillonnent quelques jours l'étang, dont celui-ci...


Début juin : ils sont toujours dans les parages.
Je n'avais jamais remarqué que les cormorans ont les yeux verts.




Mi juillet: réapparition des deux cormorans.
Celui-ci est co - locataire du perchoir préféré des mouettes.


Le 2e cormoran bat curieusement des ailes dans l'eau.


Dernière image d'un cormoran en 2015. Ils ont disparu cette fois pendant l'hiver.

Pendant deux années, leur apparition au parc sera plus rare. Et tout à coup, en novembre 2017, retour en force des cormorans qui semblent vouloir à nouveau hiverner au parc:



               A suivre

lundi 10 août 2015

A la découverte des oiseaux du parc des Ulis . 2e partie - Oiseaux des étangs : OIES ET CANARDS.

                                        
La gent à plumes des étangs est très présente au parc des Ulis, vrai lieu de vie. Les petits couples de canards col-vert, les foulques ( poules d'eau noires à tête blanche) , quelques gallinules (poules d'eau plus petites), les mouettes, qui ponctuent de blanc le grand étang tout l'hiver, sont les hôtes les plus constants des étangs du parc. Pendant plusieurs années, un beau couple d'oies a animé le parc de ses coups de trompette. Le mâle a disparu en 2013, la femelle a été retrouvée morte en mars 2015.  Un ou deux hérons, des groupes de cormorans, et maintenant des flotilles de bernaches (oies canadiennes) sont aussi fréquemment présents. En 2015,un couple de bernaches a eu un petit dans le parc pour la première fois, et donc s'y est installé plusieurs semaines, avant que tout ce beau monde aille vers d'autres horizons l'été .A l'automne suivant, le couple est revenu, et a eu un second petit au printemps 2016.Nouveau départ en été, avant un retour en automne mais cette fois du couple et du petit devenu adulte. Le 6 mai 2017, sont nés cette fois 3 oisons, mais l'un d'eux a disparu rapidement. Ponctuellement, des canards Souchet, à ne pas confondre avec les col-verts ( leur bec est plus long et leurs couleurs différentes) arrivent en escadrille, ou plus discrètement, en couples. Et de temps à autre, un merveilleux visiteur se présente: ainsi, un canard mandarin  et plus récemment un canard mignon siffleur ont fait une petit séjour dans le parc.
Les observations de cette page ont été réalisées de 2009 à 2017.

                                                         LES DISPARUS.
























Les maîtres de l'étang, ce fut longtemps ce superbe couple d'oies qui faisait résonner le parc de leurs puissants coups de trompette, destinés souvent à alerter le petit peuple de l'eau d'une présence importune.
(Photo: avril 2009).

                                                       M. JARS le Magnifique.


"Cou tendu ,bec levé vers le ciel, il m'observe, sur ses gardes...Si je m'approche un peu trop, il s'éloignera, entraînant sa compagne...à moins que j'aie quelque friandise à lui donner...mais je n'ai jamais rien sur moi...Je sens chaque fois que je l'ai déçu..." écrivais-je à l'époque.


Ce beau couple était vraiment le maître de l'étang: il y était partout chez lui, investissait tous ses recoins et aussi n'importe quelle berge.
Il rabrouait volontiers l'importun, qu'il s'agisse d'un autre oiseau, ou d'un certain petit chien blanc dont la tête ne lui revenait pas: le couple charge, le cou tendu, avec le profil d'un concorde au décollage...poursuivant le malheureux toutou et sa jeune maîtresse affolée...
                        
                       Le mâle a  donc disparu en 2013, la femelle a été retrouvée morte en mars 2015.
                                                  

                                    OIES SAUVAGES.
Des flotilles d'oies sauvages , des bernaches (oies canadiennes) investissent l'étang à certaines périodes et l'animent de leurs cris rauques. Elles ne restent jamais très longtemps.

Mais en mai 2015, pour la première fois, un couple a eu un petit dans le parc. On se demandait si la municipalité envisageait de remplacer le couple d'oies domestiques disparu, et voici que la Nature y a pourvu!
Car de ce fait, le couple est resté avec son petit longtemps, accompagné même un moment de quelques congénères.
 
                               
                                          Un couple de bernaches et son petit ( fin mai 2015).

                                                            

                                                                Un adorable oison.



                                                  30 JUIN 2015 : l'oison a bien grandi!


6 JUILLET: le couple et son petit sont escortés pour un moment par quatre compagnons.


16 JUILLET: l'oison ne se distingue plus des adultes que par une taille légèrement inférieure et un plumage du cou plus clair.

 

4 AOUT: l'oison (à gauche) ne se distingue pratiquement plus des adultes, si ce n'est par un cou plus fin et une taille légèrement inférieure. Les 4 compagnons du trio ont pris leur envol. Le 9 août, un membre du trio restant ,vraisemblablement l'ancien oison, s'envolera pour d'autres horizons . Le 16 août, je constaterai la disparition à leur tour des deux bernaches restantes, vraisemblablement le couple des parents.
Mais en novembre, un couple s'installe de nouveau au parc, accompagné au début d'un 3e larron (l'oison?). Bientôt, seul le couple reste. Il y a fort à parier qu'il s'agit du même couple qu'au printemps. En janvier, il est toujours là. Allons nous vers une nouvelle couvaison au printemps?


Janvier 2016 : le couple est toujours là !
Le parc des Ulis a de nouveau un couple d'oies à demeure!


                                          9 mai 2016: le couple a de nouveau un seul petit !


Voici Bernachou II.

L'été suivant, le couple et l'oison devenu grand s'envoleront de nouveau vers d'autres contrées, avant de revenir en automne. Mais surprise! Cette fois, le couple revient avec l'oison devenu grand. Que va-t-il se passer au printemps?

26 septembre 2016: c'est un trio qui est de retour au parc cette fois...

PRINTEMPS 2017:
Bernachou 2 est parti sans crier gare. Une nouvelle couvaison commence.

SURPRISE: NOTRE COUPLE  A CETTE FOIS 3 PETITS!

Malheureusement 2 jours après un des petits disparaît. Trop fragile, ou victime d'un prédateur (héron)?



Toupe de bernaches de passage: ce jour-là, 27 oies avaient investi le petit bassin rond du parc!

(à venir: le printemps fou des oies en 2018)

CANARDS.

LES COLVERTS.


Les COLVERTS sont omniprésents dans le parc, parfois en petits groupes, le plus souvent en couples. 


Ils sont tellement présents qu'on ne les regarde même plus! C'est un tort! Soulignera-t-on assez la beauté du mâle en période nuptiale?


Au printemps et en été la naissance des canetons offre un spectacle adorable. 

 
N'est-ce pas?

 

Dès le mois d'août, les mâles perdent leur belles couleurs; la tenue est unisexe! Ils les récupéreront 3 semaines plus tard.

*JUILLET 2016 : LA COUVEE INATTENDUE!

Je découvre une couvée de canetons colvert dont 2 sont jaunes! Inédit au parc!


Entre frères...
De quelle aberration génétique est-ce le fruit?

Début AOUT....
Je retrouve la curieuse couvée...


Les minuscules canetons jaunes sont devenus des canards blancs! Leurs frères classiques prennent peu à peu leur aspect de jeunes colverts. Ils ne se quittent pas. La mère (à droite) veille toujours sur eux.
Renseignements pris , ces canards blancs pourraient l'être en raison d'une anomalie génétique, le leucisme, qui empêche la pigmentation du plumage. En revanche ils ne sont pas albinos, car ils auraient les yeux rouges.


Hiver 2017: nos deux compères sont toujours là. Leur différence permet de constater que les colverts nés au parc semblent lui rester fidèles.


En février, les deux canards blancs restent toujours ensemble, inséparables, alors que leurs frères "classiques" ne les accompagnent plus. D'après une amie, on aurait une femelle (à gauche) et un mâle (à droite -reconnaissable à la petite virgule de la queue).Ils seraient donc frère et sœur. Inséparables, on pourrait penser qu'ils ont un comportement de couple. En fait, les couples de colverts ne sont fidèles qu'une saison; une fois les petits nés, le mâle prend le large et trouvera une autre compagne. Or ceux-ci n'ont pas eu de petits, et resteront encore ensemble les années qui suivront. C'est un couple fraternel… Leur différence les rapproche-t-elle ?

 Canards sur la glace.
Comme les autres volatiles des lieux, ils passent l'hiver comme ils peuvent.
La neige a partiellement fondu, la glace est toujours là, la végétation s'y reflète, comme la silhouette des canards...

Photo prise le 1er février 2010. 

                      Vol de canard dans l'or du soir.  
Jeu de la lumière et de l'ombre, prise en vol heureusement saisie...

 
Photo prise le 14 février 2010.
Cette photo a été classée parmi les meilleures du mois de février sur le site L'Internaute.

CANARDS SOUCHET.

 
                                                           Photo prise  le 8 avril 2010.
Le canard Souchet, un canard sauvage, est reconnaissable notamment à son gros et large bec noir. De loin, le passant inattentif peut le confondre à tort avec le col vert.
La femelle a le plumage terne comme celle du col vert.


Tout l'après midi du 8 avril 2010, cette escadrille de canards Souchet s'est livrée à une démonstration aérienne au dessus de l'étang des Ulis, multipliant les figures les plus diverses à une vitesse vertigineuse...
Longtemps ils n'ont fait que de brefs passages dans le parc des Ulis.


Mais l'hiver 2014-2015 plusieurs couples de canards Souchet  ont élu domicile  sur le grand étang du parc .


 Les couples de Souchet se livrent inlassablement à un curieux manège : ils tournent en rond l'un derrière l'autre, semblant labourer l'eau de leur bec. J'avais pensé à une sorte de danse nuptiale, mais je crois plutôt que c'est une coopération dans la recherche d'éléments de nourriture.

Canard souchet mâle (janvier 2017).



DE MERVEILLEUX VISITEURS:

CANARD MANDARIN.
  
Un merveilleux passant (16 février 2010)...
Cette merveille de la nature, un canard mandarin mâle, a été vu une seule fois cet hiver 2010 sur
l'étang principal du parc.



 CANARD MIGNON SIFFLEUR.

 

 Le 16/1/15, un autre joli visiteur a, pour la première fois à ma connaissance, pointé son bec sur l'étang. Il s'agit d'un canard mignon siffleur . Il s'est installé dans le parc tout le reste de l'hiver et a disparu au printemps.

FULIGULE MILOUIN:

Le 29 mars 2018, un FULIGULE MILOUIN  (mâle) fait son apparition pour la première fois sur l'étang. Ce petit canard plongeur des contrées nordiques s'est -il égaré lors d'une migration? C'est probable. Il est resté 4 jours prudemment au centre de l'étang, puis  a poursuivi sa route.

OUETTE EGYPTIENNE:


Cette oie d'Afrique est apparue sur l'étang le 16/10/18. Venait-elle vraiment d'Afrique, ou d'une de ces régions de France où cette espèce s'est multipliée au point de devenir invasive (Alsace par exemple)? L'espèce a été introduite par l'homme dans le sud de l'Angleterre , puis au Pays Bas ,avant de gagner d'autres pays, dont la France.

Elle est apparue sur l'étang au milieu d'une grande troupe de plusieurs dizaines de bernaches du Canada, autre espèce importée en France. Le séjour sur l'étang des Ulis correspond à une pause dans un processus migratoire. Dès le 17/10, elles n'étaient plus là.

NETTE ROUSSE:

Pour la 1e fois , quelques NETTES ROUSSES ont fait escale au parc une journée le 4 novembre 2018:

                                                                          Deux couples.

Individu mâle.

UN COUPLE DE FULIGULES MORILLONS.

Mâle.

Femelle.

Le couple.
Observés pour la 1e fois au parc Nord le 8 novembre 2020.
Ils sont restés quelques jours.

                                                                       A SUIVRE.