mercredi 25 décembre 2024

L' ANNEE 2024 AU PARC NORD PAUL LORIDANT : LES FAITS MARQUANTS.

Quels ont été les faits les plus marquants en 2024 au parc, concernant la vie animale?

                       I- LES FAITS INSOLITES DE L'ANNEE:

                * AVRIL: HECATOMBE DANS LES COUVEES DE CANETON.

* Premier phénomène insolite en avril : des couvées de canetons pléthoriques !

 .Ainsi le 14 avril, on a pu constater la présence d'une première couvée de 13 canetons, puis le 16 avril 2 nouvelles couvées de 15, et une autre couvée de 14 notamment. De tels effectifs pour des couvées de canetons, c'est plutôt rare ! Les couvées jusqu'ici n'avaient pas dépassé 11 individus.

                                                      
                                               Une des couvées de 15 canetons du 14 avril.

* Second phénomène  inédit à ce point: une hécatombe de ces couvées de canetons , qui disparaissent en 3 jours !

Entre le 19 et le 24 avril se produit un carnage parmi les couvées de canetons . Dès le 20 avril, on ne voit plus que des couvées de 4 ou de 3, puis 2. Telle couvée de 15 comportant un caneton noir ne compte plus que 4 petits par exemple. Début mai, il ne reste plus qu'une couvée de 3; on ne la reverra pas.

Le coupable: le HERON? Dès le 19 avril, un héron était présent sur la plage, un rat dans le bec. Car les hérons ne mangent pas que du poisson, ils s'attaquent dans la campagne par exemple aux petits mammifères. Un 2e héron était présent le 20 avril. Plusieurs personnes, dont moi-même, ont vu un des hérons emporter un caneton. On peut penser qu'au printemps, les hérons ont un besoin impératif de nourrir leurs petits. Les canetons, dispersés un peu partout, parfois loin de leur mère, sont des proies faciles , bien plus rapides à saisir que les poissons. Mais d'autres prédateurs, comme les corneilles, ou peut-être certains poissons, ont pu jouer leur partition.


Un des coupables, surpris à rôder autour des couvées !

Le phénomène se reproduit en mai : l'unique couvée de 6 canetons à ce moment perd successivement tous ses membres!.

Heureusement pour le renouvellement du cheptel de colverts, il n'en est pas de même en juin! Les 6 nouvelles couvées de ce mois, comportant un nombre plus normal de canetons (6 à 10), survivront toutes !  Un ou deux hérons passent au parc à cette époque, et ils ne s'intéressent visiblement qu'aux poissons!

Une des belles couvées de juin.

                                       * L'ANNEE DES CORMORANS ! 

 EN AUTOMNE, UN NOMBRE INEDIT DE CORMORANS A ENVAHI LE PARC!

D'ordinaire , on constate en automne la présence de quelques cormorans, moins d'un dizaine le plus souvent.

44 CORMORANS LE 30 OCTOBRE!

Cet automne, les étangs ont été envahis par un nombre inaccoutumé de ces oiseaux, parmi lesquels de nombreux juvéniles reconnaissables à leur plastron blanc. En septembre, ils étaient entre 5 et 8 selon les jours ; en octobre, on a atteint la quinzaine, puis la vingtaine d'individus , et enfin la trentaine et plus en fin de mois : un pic de 44 individus présents a été atteint le 30 octobre! L'effectif a oscillé ensuite entre 20 et 30 individus encore dans la première quinzaine de novembre, avant de fléchir nettement ensuite (9 individus le 17 novembre) et on est revenu à des chiffres modestes , entre 0 et 5 individus selon les jours fin novembre et courant décembre.


Cormorans à la pointe de l'îlot (est de l'étang).

Cormorans perchés (est de l'étang).

Au début on les trouvait surtout sur leurs perchoirs habituels à la pointe de l'îlot situé dans la partie est de l'étang ; puis, au fur et à mesure qu'ils affluaient ,ils ont été nombreux à l'ouest du parc sur la rive est de la grande île ou sur les arbres dominant cette rive (le 30 octobre on en comptait 16 à ce seul endroit), et surtout dans le bras ouest de l'étang , haut ou bas perchés.


3 jeunes cormorans sur la berge est de la grande île

 Cet afflux était-il lié aux inondations de la vallée de Chevreuse qui auraient gêné les cormorans dans leurs habitudes, d'où leur venue sur le plateau? Etait-il lié à des naissances dans la région particulièrement nombreuses (on ne sait pas d'ailleurs sur quels sites ils nidifient avant de venir au parc) ? Ce ne sont que des hypothèses.   


Cormorans et mouettes rieuses dans le bras ouest.

Les cormorans sont aussi présents les premiers mois de l'année, jusqu'à la période de reproduction où ils s'absentent. Au début de l'année, 3 cormorans animaient la pointe est de l'îlot et le petit étang.
                           * En automne encore :

            D'IMPORTANTS BANCS DE POISSONS ROUGES DANS L'ETANG !

Un premier afflux de poissons rouges a été remarqué le 5 octobre à l'extrémité nord du bras ouest de l'étang. Il faut dire qu'il a fait l'affaire des cormorans, présents en nombre, mais aussi des hérons qui sont venus aussi se servir!

Un second afflux s'est produit le 24 octobre ,cette fois au sud du bras ouest, dans le cloaque souvent malodorant où aboutissent les eaux de ruissellement venues de la ville. On ne sait pourquoi, au lieu de tenter d'aller plus loin, les poissons se sont maintenus à cet endroit, et 3 jours plus tard la plupart avaient le ventre en l'air et ont pourri tranquillement sur place . L'endroit est certainement très pollué, d'où le sort subi par ces poissons.


                                                    Le 24 octobre dans le cloaque.

Comment ont-il pu arriver là? Cela reste un mystère ! Quelqu'un qui aurait vidé des aquariums dans l'étang? Il devait y avoir bcp d'aquariums? Des poissons échappés d'un élevage et qui seraient arrivés là via les égouts de la ville? Nous n'avons pas la réponse.

                     * Décembre: UN CYGNE AU PARC NORD!

Vendredi 13 décembre, les promeneurs purent constater la présence (rare ! Il n'y avait eu qu'un précédent en décembre 2022 - 2 cygnes, 1 adulte et 1 juvénile étaient restés quelques jours) d'un cygne blanc adulte solitaire.


                        Après 8 jours de présence, il a quitté le parc, comme ses congénères de 2022.

           II- BERNACHES : LES SURPRISES DE L'ANNEE !

          1) LES SURPRISES DU RETOUR DES BERNACHES (de FIN DECEMBRE à à AVRIL) :

 * 1e SURPRISE : LE 27 DECEMBRE,  RETOUR AU PARC D'UN PREMIER COUPLE DE BERNACHES AVEC 13 JOURS D'AVANCE:
Les couples de bernaches qui ont nidifié au parc le printemps précédent reviennent au parc au début de l'année suivante dans le même but, accompagnés sans doute de leurs anciens petits et parfois d'autres oies. 
Et c'est un couple isolé qui a joué les éclaireurs cette fois, visiblement le couple n°3 de 2023, qui avait fait son nid au petit étang, puisqu'il s'installe d'emblée près de cet étang  . Il est seul car il avait perdu ses 2 petits en 2023. 12 autres oies arriveront au parc le 31 décembre, puis 4 autres le 1er janvier...C'est une première surprise: les premières oies en 2023 n'étaient revenues que le 8 janvier.
Ce couple n'a ensuite pratiquement pas quitté le parc, ce qui prouve qu'il s'agissait bien d'un couple revenu pour nidifier . Il a évolué uniquement dans la partie est du parc, entre le petit étang et la plage, ou la prairie sud.

Le  couple du 27 décembre .

* 2e SURPRISE: 

A L'EST DU PARC, jusqu'au 18 février, ON AURA LE COUPLE SEUL, TANDIS QU' A L'OUEST DU PARC, AU BASSIN ROND, ON AURA UN GROUPE DE BERNACHES d'effectif variable selon les jours .
C'EST L'INVERSE DE CE QUI SE PASSAIT LES ANNEES PRECEDENTES.
En effet, les années précédentes, on avait plutôt un couple seul au bassin rond (ouest du parc - territoire du couple n°2 qui vient couver depuis 2018), et un groupe de bernaches à l'est (territoire du couple n°1  qui vient couver depuis 2015).
Puis, à partir de la mi février, cela va s'inverser : de plus en plus de bernaches viennent à l'est de l'étang, tandis que le nombre de bernaches au bassin rond, à l'ouest, diminue progressivement. Et le 12 mars, il n'y aura plus qu'un couple à l'ouest, au bassin rond: le couple N°2, dont c'est le territoire.

*3e SURPRISE:
LE COUPLE N°1 dont le territoire est l'est de l'étang, et particulièrement le petit bois de pins de la rive nord, N'EST DE RETOUR QU'A PARTIR DU 19 FEVRIER.
En effet, on s'aperçoit que 2 couples, et non plus un seul, sont installés sur la rive nord , entre les deux étangs. L'un des 2 couples s'installe plus particulièrement au bois de pins: il s'agit vraisemblablement du couple n°1 de retour. Il s'ensuit une cohabitation orageuse avec l'autre couple, qui n'est autre vraisemblablement aussi que le couple du petit étang, présent depuis décembre.Ce dernier couple prend soin d 'aborder sur la berge à droite du bois de pins.

NB: il est alors apparu que l'oie veuve qui tenait compagnie au couple n°1  depuis plusieurs années n'est pas revenue ... et que donc c'est elle qui a été victime des coups de bâton de 3 jeunes voyous la saison précédente.


Le couple n°1, de retour au bois de pins après le 19 février.


Le couple n°3 (du petit étang) se tient à distance du précédent, à droite du bois de pins..

* 4 e SURPRISE:

LES BERNACHES AUTRES QUE LES 3 COUPLES POTENTIELLEMENT REPRODUCTEURS N'ONT PAS  QUITTE LE PARC A L'APPROCHE DE LA PERIODE DE COUVAISON!
C'est une énorme surprise : les couples reproducteurs reviennent en principe au parc accompagnés d'autres oies , surtout quand ils ont eu des petits l'année précédente; on peut penser que le groupe d'oies  revenu avec les reproducteurs comprend d'anciens petits, mais aussi d'autres oies. Et normalement les jeunes, à l'approche de la nouvelle couvaison, quittent leurs parents pour aller vivre leur vie ailleurs. Cela n'a pas été le cas cette année, contrairement à ce qu'on observait les années précédentes dès le 31 mars!
En effet des groupes d'oies en nombre variable selon les jours ( de 2, 3, 4, 5 oies le plus souvent, parfois de 8 ou même 12  individus) sont restés présents au parc, dans la partie est de l'étang, et ont souvent essayé de stationner sur la rive nord. Et cela continuera en avril et au delà.

                            2)  LE TEMPS DES NAISSANCES (fin avril et mai) :

* Et c'est la 5e surprise ! Le décalage temporel entre les 2 couvées abouties :
Alors que la couvaison du couple n°1 (îlot, est du  parc) a commencé dès le 28 mars, celle du couple n°2 (grande île , ouest du parc) débute avec 16 jours de décalage, le 12 avril.
Et cela va entraîner un décalage temporel important entre les naissances, ce qui n'était pas arrivé précédemment.
En effet, le COUPLE N°1 a 6 OISONS le 29 avril, ils survivront tous.
Le COUPLE N°2 a 6 OISONS  15 jours plus tard, le 12 mai. Mais il en perdra 2 courant mai.

Aussitôt après la 2e série de naissances, les deux familles se regrouperont et resteront ensemble jusqu' à l'approche de leur départ fin juillet..

NB: le couple n°3 dit du petit étang, qui avait eu 2 petits l'année d'avant mais les avait perdus, a été encore malchanceux cette année: bien qu'ayant fait un nid dans les roseaux et commencé deux fois  une couvaison , celle-ci n'a pas abouti.


Le couple n°1 (bois de pins, à l'est) et ses 6 oisons le 1er mai.


Le couple n°2 (bassin rond) et ses 4 oisons rescapés (fin mai).

          3)  LES SURPRISES D'APRES LES NAISSANCES ( Fin avril - 28 juillet) :

. 6e surprise : le nombre considérable d' oies accompagnatrices en 2024 !

Chaque année, dans les 15 jours qui suivent les naissances de nouveaux oisons, d'autres bernaches arrivent sur le site, et vont y demeurer jusqu'au départ des familles fin juillet, un peu comme si elles accompagnaient les familles .

En 2023, le nombre d'oies accompagnatrices se limitait à 12 , le groupe familial comportant 15 membres. Les deux groupes soit restaient ensemble, soit se séparaient.

En 2024, un grand nombre d'oies accompagnatrices se sont ajoutées aux oies non parties (autres que les familles), si bien qu'on a abouti à un groupe d'accompagnatrices comportant jusqu'à 38 membres le 13 juillet !! Jamais un aussi grand nombre de bernaches n'est resté si longtemps au parc, de mai à fin juillet.

               17 juin : 37 bernaches "accompagnatrices" à la plage (présentes de mai à fin juillet)

 Mais peut-être à cause du nombre, le groupe familial et le groupe des accompagnatrices SONT RESTES SEPARES, le groupe familial étant par exemple au bassin rond à l'ouest du parc, tandis que les accompagnatrices étaient  à la plage à l'est!

A noter, un départ progressif des oies accompagnatrices, et qui s'est produit curieusement AVANT le départ du groupe familial lui-même !

7 e surprise :un départ des 2 familles plus compliqué en raison du décalage d'âge entre les couvées: aussitôt après la 2e série de naissances ( vers le 12 mai), les deux familles se sont regroupees et elles resteront ensemble jusqu' à l'approche de leur départ fin juillet. En principe, les familles partent toujours ensemble. Mais le décalage d'âge entre les oisons 1 et 2 allait-il poser problème pour le départ? La famille n°1 attendrait-elle la famille N°2?


Les 2 familles le 5 juillet.

La famille n°2 (oisons les plus jeunes) est partie le 28 juillet. La famille n°1 était déjà partie le 26. Celle-ci n'avait pas attendu l'autre jusqu'au bout. Mais rien ne dit qu'elle n'est pas revenue la chercher. Et, phénomène inhabituel, du 4 au 10 août 29 oies ont été de retour au parc, 15 étaient à la plage, et un groupe de 14 correspondant au groupe familial au bassin rond.  Les plus jeunes oisons n'étaient peut être pas encore vraiment prêts à partir, d'où un possible retour temporaire?

        4)  QUELLE PRESENCE DES BERNACHES D'AOUT A DECEMBRE? 

En août, la présence de bernaches est  le plus souvent rare et brève; en automne, on assiste de temps à autre au passage de groupes de  bernaches plus ou moins grands, parfois très grands. Nous avons pu vérifier, grâce à la présence presque chaque fois de deux oies à tête blanche dans le groupe, qu'il s'agit en fait du même groupe d'oies de base, qui se déplace dans la région, et donc revient de temps en temps au parc, pour peu de temps chaque fois (24 à 48h), agrégeant un nombre variable d'individus.


116 bernaches dans le bassin rond le 15 novembre !

Ainsi le groupe de passage comptait 34 oies le15 octobre, 26 le 23/10, 63 le 25/10, à nouveau 30 le  4/11, 86 le 12/11, 77 le 14/11 et 116 le 15/11, d'autres oies s'étant ajoutées depuis la veille

Une nombre impressionnant parfois, mais une présence éphémère à cette saison.

              III -AUTRES NAISSANCES AU PARC: LES FAITS MARQUANTS.

                         * FOULQUES MACROULES : LE REGAIN !

Alors que la saison 2023 avait été catastrophique pour cette espèce (aucune naissance!), un certain regain se produit en 2024: en effet, on a pu dénombrer 7 couvées - 2 en mai, 1 en juin, 4 en juillet. Soit environ 24 naissances, mais les poussins ne survivent pas forcément tous. La plupart des couvées ne comptent que 1 à 4 poussins.

Une exception: une couvée de 8 poussins (partie est de l'étang, en face de la plage), le 9 mai, qui ont tous survécu - dans un contexte de forte mortalité des canetons! Une vraie couvée miracle!


                                   5 des 8 bébés foulques de la "couvée miracle"...

Nous avons pu suivre aussi une couvée de 4 née le 12 juillet dans le bras ouest, tous ont survécu.

               * GALLINULES ou POULES D'EAU: une VINGTAINE de naissances.

Cette espèce est craintive, les nids sont bien cachés, et les individus se dissimulent vite à notre approche, d'où une certaine difficulté à les dénombrer. Nous avons pu repérer au moins 8 couvées, 3 en avril, 3 en mai, 2 en juillet. Souvent elles ne comptent qu'1 ou 2 poussins; en avril, nous avons remarqué une couvée de 6, mais par la suite nous n'avons pas revu les poussins ; en mai, une couvée de 5 était dans le bras ouest, 4 au moins ont survécu.


       Les 4 poussins rescapés de la couvée de mai.            

                  * GREBES CASTAGNEUX: au moins 21 nouveaux nés.

Pas toujours faciles à repérer non plus cette année, les couvées de grèbes castagneux, les nids étaient cachés ou à distance. Nous avons pu dénombrer au moins 21 nouveaux nés. Il y a eu 2 couvées en mai, 3 en juillet, 2 en août. Les couvées comptaient entre 1 et 5 petits, le plus souvent 2 à 4. Là aussi il y a de la déperdition. Ainsi la couvée de 5 du 2 mai a perdu 2 membres, 3 ont survécu et nous les avons vu grandir.

Mère grèbe castagneux portant ses petits sur son dos.

            IV  LES AUTRES VISITEURS DE L'ANNEE:

                               * L'année des 3 hérons:

Des hérons ont été présents au début de l'année, et malheureusement pour les canetons, jusqu'en avril, puis ils se sont fait rares. Ce n'est qu'à partir de l'automne que leur présence est devenue constante. 

Et l'on s'est aperçus que 3 hérons fréquentaient nos berges :  2 hérons adultes, magnifiquement plumés - donc pourvus de leur plumage nuptial , se tenant presque toujours dans le bras ouest de l'étang. 1 héron juvénile, plus instable, présent selon les moments dans le bras ouest, ou à d'autres endroits, notamment au petit étang.

Le patriarche, au jabot bien emplumé.


Celui-ci verra son plumage nuptial se développer au fil de l'automne.

                               

                                                                   Héron juvénile.

Ces hérons parfois semblaient se provoquer ou parfois volaient ensemble.

                              * Les canards souchets là en automne :
Quelques uns de ces canards sauvages au fort bec peuvent être aperçus sur l'étang dans les premiers mois de l'année, mais c'est à partir de la fin de l'été et tout l'automne qu'ils sont fidèles au parc. A leur arrivée , les mâles ont encore leur plumage d'été. Ils acquièrent peu à peu leur plumage nuptial au fil de l'automne.


Canard souchet mâle en plumage d'été. 25 août.


Souchet mâle en train de récupérer son plumage nuptial.


Souchet femelle.

* ET M. L'ECUREUIL?
L 'écureuil, bien que plus discret cette année, a été vu plusieurs fois, notamment par notre amie Stéphanie Guédon. Une autre personne a pu filmer 2 jeunes écureuils se poursuivant dans les branchages.

Une des apparitions de l'écureuil au début de l'année.
Photo: Stéphanie Guédon.

  *ET M. RAGONDIN ?
Arrivé au parc fin novembre 2023, il est resté fidèle à celui-ci toute l'année 2023, réapparaissant de temps en temps aux yeux des promeneurs. Cependant, il n'a pas réapparu en fin d'année; est-il toujours au parc?

Photo prise le 19 août.

* QUELQUES OISEAUX, rares ou moins rares,   
qui ont pu être photographiés au parc en 2024:

Mésange nonnette - Photo: Stéphanie Guédon.

Fauvette à tête noire femelle. Photo: Stéphanie Guédon.

             Grimpereau des jardins. Photo: Stéphanie Guédon.

Grive mauvis. Photo: JMS.

Etourneau sansonnet.Photo: JMS.

Etourneau sansonnet nourrissant ses petits. Photo: Frédéric Koessler.

Sittelle torchepot.Photo: Stéphanie Guédon.

        Pinson des arbres mâle. Photo: JMS.

  Pinson des arbres femelle. Photo: JMS.

Rouge gorge familier. Photo: Stéphanie Guédon.

 Bergeronnette des ruisseaux. Photo: JMS.

Geai des chênes. Photo: Stéphanie Guédon.

 Pic mar. Photo: JMS.

Pic epeiche. Photo: Stephanie Guédon.

Pic vert mâle. Photo: JMS.

Couple de perruches à collier. Photo: JMS.

Mouette rieuse. Photo: JMS.
Elles partent au printemps, reviennent en automne, et passent l'hiver au parc.

    Colverts au bord du bassin gelé. 27/1/24.Photo: JMS.

Ces photos ont paru dans un premier temps dans le groupe facebook "J'AIME LE PARC NORD DES ULIS".

A revoir:
*LES FAITS MARQUANTS DE L'ANNEE 2023  au parc Nord des Ulis.
Cliquer sur: 

    * LES FAITS MARQUANTS DE L'ANNEE 2022  au parc nord :

https://jmsatto.blogspot.com/2023/01/l-annee-2022-au-parc-nord-des-ulis-parc.html